Qui sommes-nous ?

NORA HADJI :
Fille cachée de Lawrence d’Arabie, Nora grandit dans le désert d’Algérie où dès l’âge de 12 ans et par un pur un hasard, elle découvrit un gisement de pétrole. Très vite elle transforma ce précieux liquide en or. À 14 ans Nora devint multimilliardaire et flamba une bonne partie de son pognon en bœuf bourguignon et île flottante. À 17 ans, fatiguée de tout ce fric, elle troqua son business avec un vieux paysan contre ses cinq plus belles chèvres. Aujourd’hui, Nora partage avec ses biquettes un soixante mètres carrés dans Paris qu’elle paye la peau des fesses… mais tout ça n’est pas bien grave, car elle coule des jours heureux au sein du salon de quartier rue de Lévis.

KEVIN VIAUD :
Kevin a grandi à Redmountain dans le 92, tout comme le célèbre personnage français, «Coluche». Comme lui, Kévin a le sens de l’absurde. Ce sens que l’on retrouve très nettement dans ses gouts vestimentaires. D’ailleurs, nous avons écrit à Cristina Cordula pour qu’elle fasse quelque chose pour lui, mais elle nous a répondu qu’il était «formé en W». Bon… À ce jour nous n'avons toujours pas compris.
Le rêve de Kévin est de racheter le PSG… Mais en attendant il coule des jours heureux au sein du Salon de Quartier rue de Lévis, là où ses collègues lui rappelle un peu les chèvres de son équipe préférée.

CEDRIC VAUTHIER :
Garçon délicat et d’une extrême intelligence, Cédric est rentré dans la coiffure un peu par hasard. Cédric aurait bien pu être président de la république ou être Alain Delon, mais il a préféré mettre son talent dans les cheveux des autres. Cedric Vauthier est un sex-symbol et qui…
Pardon, excusez-moi. Je viens de me rendre compte que l’on ne parle pas du tout du même Cédric Vauthier. Euh… celui que l’on décrit depuis tout à l’heure travaille à Clermont-Ferrand… Non, l’autre Cédric Vauthier coule des jours heureux au sein du Salon de Quartier rue de Lévis, là où ses collègues trouvent qu’il coupe les cheveux comme une chèvre.

CHRISTA DESBORDES :
Christa dit « Tita » pour les intimes, fût créée et envoyée sur Terre comme l’ultime révolution capillaire qui sauverait notre planète des noms débiles que l’on donne aux salons de coiffures… Après elle, finis les « Tif for Two », les « Bulle d’Hair », les « Laque sa Tif » et j’en passe et des meilleurs. Le monde en avait assez de ces noms cul-cul la praline. Tita, un peu comme Terminator, était venue sur terre pour exterminer à coup de séchoir dans la tronche, ceux qui osaient nommer leurs salons avec des jeux de mots pourris. Malheureusement, elle n’en eu jamais eu le temps. Car un jour, elle rencontra une équipe de chèvres qui essayaient de couper les cheveux au 72 rue de Levis. Elle tomba direct amoureuse de cette fine équipe et Tita fini par couler des jours heureux au sein du salon de quartier. Et ça c’est Tita… nesque.


EVA
… À venir …